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AIR FRANCE – KLM – Activité: Transport aérien

Le trafic était en forte progression en Mars, les synergies de la fusion avec KLM devraient compenser les hausses du prix du pétrole, la valorisation est attractive, nous sommes à renforcer pour le moyen terme.

Air France-KLM vient d’annoncer pour le mois de mars une augmentation de 1,7 points de son coefficient d’occupation à 80,1%.

Le trafic est en hausse de 6,2% sur le mois pour une progression de 3,9% des capacités.

On remarque en particulier la forte progression de 11,2% du trafic sur l’Asie et de 9,1% sur l’Afrique et le Moyen-Orient.

Le titre a perdu plus de 8% depuis la publication mi-février de ses derniers résultats trimestriels qui étaient pourtant satisfaisants en terme d’activité avec une progression du chiffre d’affaires de 5,7%, grâce en particulier à une forte progression du fret.

Le résultat du trimestre était resté stable, notamment du fait de la cession d’Amadeus France.

Cette chute est surtout la conséquence de la hausse des prix du pétrole, qui ne peut être entièrement répercutée sur les tarifs et de son impact sur la rentabilité.

A moyen terme les perspectives restent cependant intéressantes et les synergies procurées par le rapprochement avec Klm commencent à produire leurs effets et devraient compenser cette hausse.

Le résultat d’exploitation de l’exercice 2004/2005 ( clos fin Mars ) , qui sera annoncé le 19 Mai devrait dépasser celui de l’année précédente à 350 millions d’euros.

La valorisation du titre est attractive par rapport au secteur et il pourrait partir à la hausse au moindre reflux des prix du pétrole.

Nous sommes à renforcer dans une optique de moyen terme.

Les résultats du second trimestre de l’exercice (juillet à septembre) sont conformes aux attentes et les objectifs confirmés, l’endettement est en baisse et la valorisation du titre est raisonnable, nous sommes à conserver.

Air France-KLM a annoncé il y a quelques jours pour le second trimestre de son exercice 2004-2005 (juillet à septembre) un bénéfice net en hausse de 41% à 201 millions d’euros.

Ce chiffre se situe au milieu de la fourchette des prévisions des analystes ( 150 à 240 millions d’euros).

Le résultat d’exploitation progresse de 35% à 295 millions d’euros, la plus grande partie de cette hausse étant réalisée par l’activité « passage » qui augmente de 38% à 228 millions d’euros.

Air France-KLM avait annoncé quelques jours avant une hausse de 6,4% de son chiffre d’affaires consolidé au deuxième trimestre à 5,132 milliards d’euros.

Pour l’ensemble de l’exercice (clos fin mars 2005), le groupe a maintenu son objectif d’un bénéfice d’exploitation « clairement positif », en précisant qu’il visait maintenant un résultat d’exploitation supérieur à celui de l’exercice précédent, c’est à dire environ 350 millions d’euros.

L’endettement du groupe est en amélioration puisque son ratio sur fond propres est passé de 1,11 au 31 Mars à 1,04 au 30 Septembre.

Air France-KLM a annoncé par ailleurs avoir mis en place un plan supplémentaire de réduction des coûts de 60 millions d’euros sur l’exercice en cours, notamment pour faire face à la flambée des prix du pétrole.

Le groupe a de plus précisé qu’il n’envisageait pas de se désengager d’Amadeus, dont il détient un peu plus de 20%.

Le principal frein à la progression du titre se situe au niveau de la hausse des prix des carburants.

Les fondamentaux restent excellents et le groupe reste à notre avis un des plus solides sur le secteur.

La valorisation actuelle est très raisonnable, avec un PER 2005 estimé voisin de 12.

Nous sommes à conserver.

Les bons chiffres de trafic qui viennent d’être publiés montrent que la compagnie se comporte mieux que ses concurrents dans le contexte actuel, mais les craintes de conflit nous incitent à la prudence et nous sommes à conserver pour le moyen/long terme.

Air France vient d’annoncer de bons chiffres pour le trafic passagers en décembre, qui a progressé de 10,8%, tandis que le coefficient d’occupation a augmenté de 2 points à 74%

Le réseau long courrier enregistre une hausse de 11,6% pour une offre en progression de 7,7%, d’où une progression de 2,8 points du coefficient d’occupation à 78,9%).

Le trafic moyen courrier international progresse quant à lui de 6,8% mais avec une baisse de 2,7 points du coefficient d’occupation à 56,6%, due à une hausse de 12,0% des capacités.

Le trafic moyen courrier intérieur est en hausse de 9,6% et son coefficient d’occupation de 4,4 points à 67,1%.

L’activité fret a progressé de 3,9%, avec une baisse de 4 points à 64,2% du coefficient d’occupation.

Depuis le mois d’octobre le titre a repris près de 40%.

Il reste cependant encore sous-valorisé, à cause principalement des risques de conflit en Irak, et sur le court terme une rechute est possible si une guerre avait lieu.

Les bons chiffres de trafic qui viennent d’être publiés confirment cependant la qualité des fondamentaux du groupe dans un contexte difficile.

Air France se comporte notamment mieux que la quasi totalisé de ses concurrents.

Rappelons que KLM par exemple a émis un profit warning pour son exercice 2002/2003 pour lequel elle n’envisage plus de bénéfice.

Air France se heurte pourtant de plus en plus à la concurrence des compagnies à bas coûts.

Un autre élément à prendre en considération est la prochaine tranche de privatisation du groupe, portant sur 30 à 40 % cédés par l’Etat en juin prochain, qui devrait avoir un impact négatif à court terme.

Compte tenu de l’ensemble des éléments ci-dessus, certains positifs d’autres non, et du cours actuel nous sommes à conserver dans une optique de moyen/long terme.

 

Le titre risque de demeurer volatile et sous pression sur le court terme compte tenu du contexte sur le secteur, mais le niveau de valorisation actuel et la solidité de la compagnie lui laissent un potentiel important

Air France vient de publier les données concernant le trafic au mois de septembre 2002 qui font état d’une hausse de 4,8% de son trafic passagers.

Le coefficient d’occupation de ses vols augmente de 2,6 points à 77,6%.

Le trafic passagers aurait même augmenté de 13,3%, selon Air France, sans la grève de quatre jours des pilotes.

Le trafic fret a lui progressé de 11,6%.

Les derniers résultats annoncés par la compagnie, il y a un mois, concernaient le premier trimestre de son exercice fiscal 2002/2003, clos fin Juin et montraient un résultat opérationnel de 152 millions d’euros, en baisse de 22% par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le résultat net pour ce trimestre est de 159 millions d’euros, ce qui est supérieur aux attentes des analystes.

Après avoir atteint un plus bas historique il y a un mois, sous-performant de 15 % les autres compagnies européennes, le titre a refait depuis quelques jours une partie importante de son retard.

La valorisation reste cependant encore faible, mais il est vrai que la visibilité du secteur demeure incertaine.

Un éventuel conflit avec l’Irak aurait évidemment des conséquences négatives sur le trafic aérien.

Les menaces terroristes n’ont pas disparu et le titre se trouve ainsi à la merci d’une actualité dans ce domaine.

Le prix du pétrole, qui reste encore à un niveau élevé, alourdit les charges d’exploitation de la compagnie.

La privatisation du groupe, annoncée récemment, fait également naître des incertitudes liées aux modalités de l’opération.

A court terme donc le titre risque d’être encore soumis à des pressions et demeure très volatile.

Air France a cependant d’importants atouts, c’est sans nul doute l’une des plus solides compagnies aériennes, l’une des rares à avoir affichée des bénéfices sur le dernier exercice.

Elle est réputée comme l’une des compagnies les plus sures, et à chaque baisse du trafic aérien mondial elle gagne des parts de marché.

Son coefficient d’occupation est l’un des plus élevés dans le secteur (77,1% contre 73% pour la moyenne européenne).

Sa trésorerie est saine et on remarquera que la capitalisation actuelle d’Air France est à peine supérieure à sa trésorerie et ne représente qu’un tiers de ses capitaux propres.

Le taux d’endettement du groupe est l’un des moins élevé du secteur.

Compte tenu des éléments qui précèdent, et malgré un risque sur le cours terme nous sommes à accumuler au cours actuel dans une optique de moyen/long terme.

 

La compagnie a montré sa solidité dans le contexte actuel, la valorisation est attractive et elle possède un intérêt spéculatif, nous sommes à l’achat.

Air France a annoncé il y a un mois un résultat net part du groupe pour l’exercice 2001/2002, achevé le 31 Mars, de 153 millions d’euros.

Le résultat net par action s’élève à 0,69 euro contre 1,91 euro il y a un an.

Le chiffre d’affaires a augmenté de 2 % à 12,53 milliards d’euros, dont 82,8 % pour les passagers.

La compagnie a évidemment subi de plein fouet les conséquences de la chute des transports aériens mais on constate cependant qu’elle s’est plutôt mieux comportée que ses concurrents.

Un vaste plan d’économie a été entrepris, qui commence à porter ses fruits.

L’endettement reste stable d’une année sur l’autre à 2,9 milliards d’euros.

Le département américain des transports vient d’accorder aux 5 membres de Skyteam, dont Air France, l’autorisation de coordonner leurs vols, leurs prix et leur système de réservations, ce qui devrait permettre au groupe d’importantes économies d’échelle.

Une autre bonne nouvelle est intervenue presque en même temps de la négociation avec le syndicat national des agents de voyage: la réduction des commissions versée aux agences de voyages, qui entrainera une diminution notable des frais de distribution.

Air France a également renforcé ses accords de commercialisation avec la SNCF.

Il reste cependant une incertitude pour la compagnie, concernant l’accord de Bruxelles quant à sa coopération avec Alitalia.

Compte tenu de l’ensemble des éléments ci-dessus nous considérons qu’Air France reste la plus solide des compagnies aériennes européennes et la plus à même de tirer son épingle du jeu dans la conjoncture actuelle.

La solidité de sa situation financière doit lui permettre de profiter, le moment venu, de toute reprise sur le secteur et d’envisager avec sérénité les mouvements de concentration sur celui-ci.

Le titre se trouve actuellement à une valorisation particulièrement attractive et possède de plus un attrait spéculatif dans le cadre d’une éventuelle privatisation qui est envisagée par le gouvernement.

Nous sommes donc à l’achat pour le moyen terme.

 

Les derniers résultats publiés sont encourageants, la compagnie est l’une de celles qui résiste le mieux au contexte actuel sur le secteur : nous sommes à conserver pour le moyen terme.

Air France a annoncé il y a quelques jours une hausse de 2,4% de son chiffre d’affaires au deuxième trimestre de son exercice 2001-2002 (clos fin Septembre) à 3,21 milliard d’euros.

Le groupe résiste donc bien au contexte actuel malgré sa forte exposition sur l’Amérique du Nord.

Son taux de remplissage dans les semaines qui ont suivi les attentats du 11 septembre a été nettement meilleur que celui de ses concurrents.

Si nous regardons les résultats en détail nous constatons que le chiffre d’affaires pour le fret a baissé de 10,7% sur le trimestre mais que celui des passagers a augmenté de 4,8%.

Le taux de remplissage pour les passagers a cependant reculé sur le trimestre de 2,6 points à 79,2%, ce qui est un bon chiffre compte tenu de la dégradation générale du secteur.

Air France a indiqué qu’il dégagerait un bénéfice net au deuxième trimestre (juillet à septembre), malgré les attentats du 11 septembre aux Etats-Unis, bien qu’inférieur à celui du même trimestre l’an dernier.

Les éléments ci-dessus nous semblent encourageants pour le moyen terme et nous sommes à conserver sur le titre, considérant que le groupe est l’une des trois compagnies aériennes européennes les plus solides.

Graphiquement le titre a franchi brièvement ce matin sa résistance à 14 euros avant de repasser pour l’instant en dessous.

Si cette résistance était passée en clôture le titre pourrait rejoindre rapidement les 16 euros puis éventuellement les 18 euros.

Les indicateurs techniques sont favorables et confirment cette possibilité.