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DEXIA – Activité: Banque

Les derniers résultats annoncés sont conformes aux attentes, le risque Legio Lease apparaît correctement provisionné et l’exercice 2005 démarre bien, nous sommes à conserver.

Dexia a annoncé jeudi dernier un bénéfice net, part du groupe, pour le quatrième trimestre 2004 en hausse de 23,8% à 406 millions d’euros.

Pour l’ensemble de l’exercice ce résultat s’établit à 1.772 millions d’euros, en hausse également de 23,8%, par rapport à 2003.

Le groupe est parvenir à compenser les charges supplémentaires ( 182 millions d’euros ) liées au dossier Legio Lease par des plus-values de cessions et des déductions fiscales sur des dépréciations de certains actifs de la filiale Dexia Bil.

Ces résultats, sont un peu supérieurs aux attentes mais ont cependant reçu un accueil mitigé à cause d’un résultat opérationnel tout juste « en ligne ».

Compte tenu de la hausse des marchés depuis quelques mois, une valeur défensive comme Dexia est sans doute aussi devenu moins recherchée.

Nous sommes actuellement arrivés à un total de frais et provisions sur le dossier Legio Lease de 660 millions d’euros ce qui nous semble bien couvrir le risque encouru ( à ce jour, seuls 83 millions d’euros de provisions ont été utilisés ).

Ces frais et provisions n’ont pas empêché Dexia de poursuivre sa politique de rachats d’actions ( 683 millions d’euros en 2004 ).

Le financement du secteur public local a continué à tirer les résultats de Dexia, affichant une progression de plus de 35%.

Le groupe s’est déclaré confiant pour 2005, qui a bien démarré mais n’a donné aucune prévision chiffrée.

Compte tenu de l’ensemble des éléments qui précèdent et d’une valorisation raisonnable du titre nous sommes à conserver.

Les derniers résultats annoncés confirment la bonne dynamique du groupe, le risque Legiolease est suffisamment provisionné, la valorisation est faible, nous sommes à renforcer.

Dexia a publié il y a quelques jours un produit net bancaire de 1280 millions d’euros pour le troisième trimestre, en hausse de 14,2% en rythme annuel.

A périmètre constant et hors éléments exceptionnels la progression des de 16,6%.

Le résultat net part du groupe se situe à 343 millions d’euros, en hausse de 95,5% ( + 68,3% à données constantes) et le résultat brut d’exploitation à 520 millions d’euros en progression de 49,7% (+ 43,9% à données comparables).

Le bénéfice par action est de 0,95 euros pour les 9 premiers mois de l’exercice contre 0,83 euros pour 2002.

La direction du groupe a en même temps confirmé sa prévision d’une croissance sensible du bénéfice par action en 2003 (+5 à 10% par rapport à 2002) et a indiqué qu’il se situerait plutôt dans le haut de cette fourchette.

L’ensemble de ces résultats et prévisions est donc tout à fait satisfaisant et confirme, après les bons résultats du second trimestre, la bonne tendance de la valeur.

Le secteur des services aux collectivités locales réalise une excellente performance et celui de la banque de proximité est en nette amélioration.

Le groupe devrait en outre poursuivre sa politique de rachat d’actions, et il apparaît maintenant que le risque Legiolease se trouve suffisamment provisionné.

La valorisation du titre est faible par rapport au secteur ( PER 2004 estimé inférieur à 9).

Nous sommes à renforcer pour le moyen terme.

 

Les derniers résultats annoncés sont supérieurs aux attentes, le profil de risque de la valeur diminue, une revalorisation du titre sur le moyen terme est donc envisageable, nous sommes à conserver.

Dexia a annoncé mi-septembre un résultat net part de groupe au titre du deuxième trimestre 2003, en hausse de 15,8% à 446 millions d’euros contre 385 millions en 2002.

Le produit net bancaire s’établit à 1 361 millions d’euros pour le trimestre, contre 1 430 millions pour le deuxième trimestre 2002, soit une diminution de 4,8%, mais à périmètre constant et hors éléments exceptionnels il progresse cependant de 6,5% ( il y avait en effet eu en 2002 d’importantes plus-values au cours de ce trimestre ).

Le résultat d’exploitation est en hausse à 14,9% à 622 millions d’euros.

Pour l’ensemble de l’exercice le groupe prévoit de réaliser une progression de son bénéfice par action de l’ordre de 5% à 10%.

L’ensemble des éléments qui précèdent est supérieur aux attentes du marché.

Le titre a d’ailleurs fortement progressé immédiatement après ces annonces, puis s’est stabilisé.

Les propos de son président sur deux dossiers importants ont également contribué à rassurer le marché :
– l’intégration de la banque belge Artesia qui se déroule de manière excellente, nettement mieux qu’espéré.
– L’offre faite concernant le dossier Dexia Bank Nederland qui s’est soldée par un succès, avec un taux de réponse de 58% dont 80% d’acceptation. Pierre Richard a de plus précisé qu’il n’y avait pas lieu de constituer de nouvelles provisions.

Certaines rumeurs ont fait état ces derniers jours d’un projet de renforcement de la participation de la CDC dans le capital de Dexia, mais celles-ci viennent d’être démenties.

Après une période difficile les nuages semblent donc s’éloigner de la valeur et son profil de risque diminue.

Les problèmes concernant le dossier Legiolease sont maintenant maîtrisés et les provisions déjà constituées apparaissent suffisantes.

Le groupe devrait reprendre, maintenant que l’horizon s’est éclairci, ses plans de rachat d’actions.

Une revalorisation du titre qui le ramènerait à la moyenne du secteur nous paraît donc envisageable et même probable, elle sera néanmoins sans doute lente.

Nous sommes à conserver pour le moyen terme.

Les résultats qui viennent d’être annoncés déçoivent un peu, mais l’épineux problème Legio Lease semble en voie de résolution, la valorisation est faible, nous sommes à accumuler au cours actuel.

Dexia vient de publier un résultat net part du groupe de 315 millions d’euros pour le premier trimestre 2003, en baisse de 21,2% par rapport à la même période 2002.

Le résultat brut d’exploitation et le produit net bancaire sont également en baisse, respectivement de 9,8% à 487 millions d’euros et de 6,1% à 1248 millions d’euros.

A taux de change constants et hors exceptionnels, le résultat brut d’exploitation et le produit net bancaire ont cependant progressé de 7,6 et 1,1%, tandis que le résultat net s’est replié de 5,7%.

C’est surtout la Gestion d’actifs et l’activité de Marchés de capitaux et Trésorerie qui est la cause de ce recul, la branche Financement Public Local et de la Banque Commerciale de proximité s’étant au contraire bien comportées.

Ces résultats sont légèrement inférieurs aux attentes du marché.

Il y a malgré tout des éléments positifs dans les annonces de Dexia :

– La poursuite de la baisse des coûts, de 3,6% sur le trimestre (-2,9% hors effet de change)
– Les bonnes nouvelles concernant ses problèmes concernant Legio Lease aux Pays-Bas, un accord ayant pu être trouvé avec 80% des clients.

Concernant ce dernier point, le risque porte maintenant sur moins de 900 millions d’euros, et qui pourrait même se révéler sous 400 millions d’euros lorsque toutes les réponses aux propositions de règlement amiable seront connues.

Rappelons que Dexia avait provisionné 500 millions d’euros sur ce dossier.

Les nuages commencent donc à se dissiper sur ce dossier et la bonne tenue de l’activité de financement des collectivités conserve la caractère défensif de la valeur.

La situation financière de Dexia est saine et sa valorisation faible par rapport au secteur, à cause principalement du dossier Legio Lease, mais la tendance pourrait maintenant devenir plus positive après les derniers éléments cités au dessus.

Nous sommes à accumuler

 

Les récentes déclarations concernant le résultat trimestriel qui sera publié le 5 Décembre sont rassurantes, la valorisation est toujours attractive malgré le rebond récent, nous sommes à accumuler pour le long terme.

Dexia publiera le 5 Décembre prochain ses résultats du troisième trimestre.

Le groupe a déclaré il y a quelques jours que ces résultats seront « tout à fait décents », malgré des provisions importantes pour couvrir le risque lié à l’activité leasing d’actions de sa filiale néerlandaise.

Dexia a également indiqué que qu’un taux de distribution de ses bénéfices autour de 40% au titre de l’exercice 2002 devrait pouvoir être maintenu.

L’exercice 2002 sera en retrait par rapport à 2001 ( recul du résultat net de l’ordre de 10% ) mais le groupe pense pouvoir revenir pour les exercices suivants à un rythme moyen de croissance de ses résultats de l’ordre de 10% par an d’ici 2006.

Le prix payé par BNP Paribas pour le Crédit Lyonnais (2,2MdsE pour 10,9% du capital) a relancé la semaine dernière les spéculations sur le titre, qui a vivement progressé.

Dexia qui n’a jamais caché son intention de renforcer ses positions en France au travers d’un rachat ou d’un partenariat dans la banque de détail.

On a cité des partenariats possibles avec la Société Générale, HSBC (qui contrôle CCF) ou encore BNP Paribas.

Malgré son récent rebond, le titre est toujours sous valorisé par rapport au secteur, a causes des inquiétudes qui pèsent sur ses filiales américaine et néerlandaise.

Pour ce qui concerne FSA, la filiale américaine, le tableau pourrait être moins noir que ne l’a imaginé le marché : le risque semble en effet limité sur le court terme à une petite partie seulement de l’activité alors que les perspectives restent bonnes sur le long terme.

La situation de la filiale hollandaise est par contre plus précaire, engluée par le problème Legio Lease (spécialisée dans le leasing d’actions) qui du fait de la baisse des marchés actions se retrouve avec un nombre important d’impayés.

Un grand nombre de clients ( 4000 environ sur 25.000 clients) ont même déposé des plaintes pour défaut d’information.

En dehors de cet épineux problème la situation de Dexia est en nette amélioration grâce à une politique active de contrôle des coûts.

Les récentes déclarations du groupe sont rassurantes, et nous restons donc positifs pour le long terme.

Compte tenu des éléments qui précèdent et du cours actuel nous sommes à accumuler dans une optique de moyen/long terme.

Les annonces de résultats préliminaires faites il y a quelques jours montrent que le creux de la vague pourrait être derrière nous, le titre est faiblement valorisé, nous sommes à accumuler.

Dexia a annoncé il y a quelques jours qu’elle prévoyait un résultat net de l’ordre de 387 millions d’euros au deuxième trimestre, en baisse de 3% (-15% hors exceptionnels) par rapport au premier, du fait essentiellement d’une hausse de la charge du risque qui passe à 80 millions d’euros contre 31 au premier trimestre.

Le résultat brut d’exploitation devrait quant à lui progresser de 17% (+8% hors exceptionnels) par rapport au premier trimestre, à 629 millions d’euros .

Cette annonce préliminaire ( et provisoire ), faite avant la publication officielle des chiffres, prévue pour le 12 septembre, est motivée par la volatilité actuelle des marchés financiers.

Dexia a confirmé malgré tout son objectif de ramener les charges d’exploitation de 2002 à un niveau inférieur à celui de 2001.

Ces chiffres, et en particulier la baisse du résultat net, constituent bien un « profit warning ».

Malgré tout ils ont été relativement bien accueillis par le marché pour plusieurs raisons :

– le souci de transparence du groupe, qui a été apprécié
– le PNB, qui devrait augmenter de 3 % constitue tout de même une bonne performance comparée à celle de ses concurrents ( BNP Paribas par exemple enregistre une baisse de 7 % sur la même période )
– on remarque une stabilisation des charges, résultat d’un meilleur contrôle de celles-ci.

Il semble bien que le creux de la vague soit atteint et que l’on devrait voir de meilleurs résultats sur les prochains trimestres.

Le cours du titre est de plus actuellement à un niveau particulièrement faible et nous pensons qu’il constitue, compte tenu des éléments ci-dessus, une bonne opportunité pour se placer ou se renforcer sur le moyen terme.

Nous sommes à accumuler.

 

Le groupe devrait profiter des perspectives de concentration sur le secteur, il reste encore sous évalué, nous sommes à l’achat.

Dexia avait annoncé il y a un peu plus d’un mois un résultat net part du groupe pour 2001 en progression de 42,5% à 1,426 milliard d’euros.

Le Produit Net Bancaire a progressé de 51,7% à 5,665 milliard d’euros sur la période ( + 5,3 % à périmètre constant, et hors revenus exceptionnels )

Le bénéfice par action, à 1,25 euro, est en progression de 9,1%.

La filiale américaine de Dexia, FSA, acquise en 2001, a publié par ailleurs il y a quelques jours un résultat net pour le premier trimestre 2002 en hausse de 13% à 54 millions de dollars.

Lors de l’assemblée générale du groupe, le président du comité exécutif, Pierre Richard a indiqué s’attendre à une nouvelle croissance des bénéfices du groupe en 2002, grâce en partie à une importante réduction des charges de fonctionnement.

Pierre Richard a en outre annoncé son intention d’investir dans un réseau bancaire français d’ici 2003.

Dexia bénéficie d’un positionnement unique au niveau européen dans le financement des collectivités locales, source de revenus sûre, et développe actuellement fortement son activité dans la gestion d’actifs, ce qui lui donne à la fois une très bonne visibilité et un potentiel de croissance important.

Le groupe devrait profiter des perspectives de concentration au sein du secteur européen, grâce à sa capacité d’investissement.

Il possède déjà 20% du Crédit du Nord, et pourrait augmenter cette participation à la faveur d’un désengagement de la Société Générale.

On parle encore d’autres acquisitions et d’un rapprochement avec la Société Générale, BNP Paribas ou Fortis.

Tout ceci donne un intérêt spéculatif évident au titre, qui reste, malgré sa récente progression encore sous évalué à notre sens.

Pour toutes les raisons qui précèdent nous restons à l’achat sur la valeur.

 


Le plan de réduction des couts devrait commencer à produire ses effets, la valorisation est interessante nous sommes à renforcer pour le moyen terme – A court terme cependant une consolidation est probable après le récent rebond.

Les derniers résultats complets connus de Dexia, ceux du troisième trimestre 2001 avaient été décevants.

Le résultat brut d’exploitation s’établissait à 476 millions d’euros, nettement en dessous des estimations des analystes qui variaient, de 530 à 622 millions d’euros.

Le bénéfice net était à 278 millions d’euros, dans le bas de la fourchette des prévisions du marché, pour un produit net bancaire à 1,343 milliards d’euros, qui était lui conforme aux attentes.

Pour l’ensemble de l’année 2001 le groupe avait indiqué il y a quelques semaines que la croissance de son bénéfice par action devrait s’établir à un niveau comparable à celui de 9,4% enregistré au cours des neuf premiers mois de l’exercice 2001.

Au niveau de l’ensemble de l’année 2001 seuls les chiffres d’affaires sont connus : le secteur du financement de l’équipement collectif, métier principal de Dexia, est en progression de 10,4%, à 150,4 milliards d’euros, mais c’est surtout des éléments concernant la marge que le marché attend.

L’exposition de Dexia en Argentine s’élève à 40 millions d’euros, dont la moitié ont été provisionnés.

DEXIA a mis en place un plan énergique de maîtrise des coûts, mais le titre est resté sous pression depuis la publication des chiffres du troisième trimestre.

Le marché s’interroge en effet sur la capacité du groupe à respecter son budget et ses objectifs de réduction des coûts et il est à craindre que la valeur reste volatile au moins jusqu’à la publication des résultats du premier trimestre 2002 vers la fin Avril.

Nous pensons cependant que dans un objectif de moyen / long terme la valorisation du titre est actuellement intéressante compte tenu de la solidité des fondamentaux et du peux de risque de la société qui bénéficie d’un marché relativement protégé et stable.

On constate en effet que la décote du titre par rapport à la moyenne du secteur bancaire en Europe est de l’ordre de 10 % pour un groupe qui est loin d’être parmi les plus vulnérables dans le contexte actuel.

D’autre part Dexia s’engagé dans un plan de rachat d’actions, qui devrait soutenir la valeur.

Compte tenu de l’ensemble de ces éléments nous sommes à renforcer pour le moyen / long terme.

Graphiquement le titre se trouve proche d’une forte résistance vers 17,5 euros.
Des prises de bénéfices sont à craindre à ce niveau qui pourraient ramener le titre sur son support de 15,5 euros.

Les indicateurs, en phase de retournement confirment ce scénario de consolidation à court terme.

 

Les résultats annoncés mardi sont décevants, à cause principalement d’une forte progression des charges d’exploitation, nous passons à conserver

Dexia a publié avant hier un résultat net, part du groupe pour les neuf premiers mois de l’année en augmentation de 47,4% à 1.092 millions d’euros.

Cette augmentation est surtout due aux nombreuses acquisitions réalisées par le groupe depuis un an, en particulier FSA aux Etats-Unis, Artesia BC en Belgique, Labouchère et Kempen and Co aux Pays-Bas.

A périmètre comparable cette progression n’est en fait que de 0,5% nettement inférieure aux attentes du marché.

Si, toujours sur des bases comparables, le produit net bancaire a augmenté de 5%, à 4,271 millions d’euros, les charges elles ont augmenté de 10,7%, avec pour conséquence un recul de 1,7% du résultat brut d’exploitation, à 1.831 millions d’euros.

Le groupe a d’ailleurs annoncé un plan visant à ce que les charges d’exploitation 2002 n’excèdent pas celles de 2001.

Dans l’ensemble donc ces résultats sont décevants, même si comme le fait remarquer la direction le BPA est à comparer avec un recul moyen de 12% de celui ci sur le secteur.

Les synergies du groupe du fait des acquisitions ont été légèrement relevées de 200 à 220 millions d’euros.

Compte tenu des éléments qui précèdent nous passons à conserver dans l’attente de voir les résultats du plan de réduction des coûts mis en place par le groupe.

Graphiquement le titre a chuté après l’annonce des résultats et pourrait continuer son repli jusque 15,50 euros.

Les indicateurs sont orientés à la baisse, en particulier le MACD qui vient de passer négatif, ce qui confirme la possibilité d’une poursuite de la baisse à court terme.

Seul le passage de 17,50 euros en cloture redonnerait une configuration haussière au titre, avec alors pour objectif la zone 19/20 euros.

Une politique d’acquisitions qui commence à porter ses fruits, nous sommes positifs pour le moyen terme – A court terme cependant la consolidation en cours n’est pas terminée

DEXIA s’est lancé depuis deux ans dans une politique d’acquisitions qui lui a coûté plus de 8 milliards d’euros qui lui a permis de passer d’une banque de financement aux collectivités locales en un groupe bancaire diversifié avec trois activités principales : le financement local, la banque de détail et la gestion d’actifs.

Cette politique a inquiété les investisseurs par son ambition et ses risques ce qui a entraîné une décote certaine du titre par rapport au secteur.

Nous constatons maintenant que cette politique commence à porter ses fruits et permet de placer le groupe sur des marchés présentant des possibilités de croissance importantes.

Les derniers résultats connus sont excellents, puisque au premier trimestre, dans un contexte difficile Dexia affiche un produit net bancaire de 1,115 milliard d’euros en hausse de 22,8 % pour un bénéfice net de 391 millions d’euros en progression de 41,7 %.

Dexia nous a toujours habitué de plus par le passé à tenir ses objectifs.

Au total, nous sommes positifs sur la valeur dans une optique de moyen terme, qui présente de plus dans le contexte actuel un caractère défensif appréciable.

Graphiquement Dexia est dans une phase de consolidation qui pourrait la mener jusqu’à 16,50 euros, et peut être même 16 euros.
Les indicateurs techniques confirment cette tendance à court terme.