Comment se faire financer son matériel informatique en entreprise ?

Pour financer l’acquisition ou la location de son matériel informatique, de nombreuses entreprises optent pour des solutions financières externes. En effet, cette alternative permet à la société de maintenir sa stabilité financière tout en ayant la possibilité de se procurer les matériels informatiques nécessaires à leur activité. 

Mais quelle solution de financement pour l’achat ou la location de matériel informatique choisir ? Dans cet article, on vous fournit quelques éléments de réponse.

Acheter du matériel informatique grâce à un prêt bancaire professionnel 

Pour financer l’achat d’un nouveau matériel informatique (appareil numérique, ordinateur, etc.) , vous pouvez souscrire un prêt bancaire professionnel. Il s’agit d’un crédit qui est exclusivement réservé aux personnes morales ou aux personnes physiques exerçant une activité professionnelle indépendante. 

A qui s’adresser pour bénéficier de ce prêt ?

Vous pouvez contacter votre banquier habituel, qui étudiera votre projet et vous proposera ensuite la solution de financement la plus adaptée. Pour financer l’achat d’un nouveau matériel informatique, de nombreuses banques proposent des conditions très intéressantes. Toutefois, il est conseillé de comparer les offres avant de prendre une décision finale 

Opter pour un crédit bancaire professionnel ?

Le principal avantage de ce type de prêt est qu’il vous permet de financer votre projet dans son intégralité. De plus, les prêts bancaires aux entreprises sont souvent accompagnés de conditions de remboursement avantageuses. Toutefois, il faut noter que le taux d’intérêt de ce type de prêt est souvent plus élevé que celui des autres solutions.

Comment débloquer cet emprunt ?

Pour bénéficier de ce prêt, vous devez d’abord envoyer un dossier détaillé à votre banquier. Ce dossier doit contenir plusieurs éléments, dont :

  • le business plan ;
  • les états financiers de l’entreprise pour les trois dernières années ;
  • une description du projet à financer ;
  • une estimation du montant du prêt.

Après avoir étudié votre dossier, la banque vous contactera pour discuter des conditions dans lesquelles le prêt peut être accordé. Si ces conditions sont remplies, le prêt sera accordé et vous pourrez financer votre projet.

Qu’en est-il du coût ?

Le taux d’intérêt d’un prêt bancaire aux entreprises est souvent plus élevé que celui des autres types de prêts. En outre, ce type de prêt implique également divers frais, tels que des frais de préparation de dossier ou des frais de garantie, ce qui peut contribuer à un coût élevé.

Un contrat de leasing pour un parc informatique

Le leasing n’est pas seulement une question de financement, c’est aussi une question d’optimisation et de fluidité dans la gestion de votre flotte. En optant pour une solution de leasing informatique, vous vous libérez de toutes les contraintes liées à l’achat et à la maintenance de votre matériel.

A qui s’adresser et comment choisir son contrat ?

Vous pouvez soit : passer par une société de leasing experte dans le secteur informatique ou une société de leasing partenaire d’un revendeur de matériel qui vous conseillera dans votre choix.

Les principaux critères pour choisir votre leasing informatique sont :

  • le type d’activité de votre entreprise et vos besoins en matière de matériel informatique ;
  • la durée du contrat de location (24 à 60 mois) ;
  • le montant des mensualités ;
  • le coût total du leasing.

Les différents type de contrat de leasing informatique ?

  • Le contrat de location simple :

Avec ce type de contrat, le bailleur supporte les risques et les coûts liés à l’utilisation de l’équipement. À la fin du contrat, vous pouvez rendre l’équipement au bailleur ou l’acheter à une valeur résiduelle généralement fixée à l’avance.

  • Le crédit-bail :

Vous devenez propriétaire de l’équipement à la fin du contrat. Les mensualités sont plus élevées que pour un leasing opérationnel mais vous pouvez les déduire intégralement de vos bénéfices imposables. En outre, vous bénéficiez de tous les avantages fiscaux liés à la propriété.

  • Location avec option d’achat :

Ce type de contrat combine les caractéristiques des contrats de location simple et de location financière. Vous avez la possibilité d’acheter l’équipement à la fin du contrat, à un prix généralement inférieur à sa valeur marchande. 

Pourquoi ne pas financer l’achat du matériel par les fonds propres ?

Vous pouvez financer l’achat de votre équipement avec le fonds propre de l’entreprise ou avec des fonds de tiers. Toutefois, il convient de noter que ce type de financement a souvent un impact négatif sur la trésorerie de l’entreprise et peut entraîner des difficultés financières en cas de dépenses imprévues. En outre, ce type de financement ne vous permet pas de bénéficier des avantages fiscaux liés au leasing.

Quelle solution financière choisir ?

La meilleure solution pour financer votre matériel informatique dépendra évidemment de vos besoins et des spécificités de votre entreprise. Pour vous aider à faire le bon choix, n’hésitez pas à demander l’avis d’un professionnel qui saura vous guider en fonction de votre situation.

Un financement en ligne pour votre matériel informatique ! 

Si vous avez l’intention d’acheter un ordinateur, une tablette ou encore un Smartphone, sachez que vous pouvez profiter d’un financement. Il s’agit d’un petit crédit, il permet de lisser la dette sur plusieurs mois afin de ne pas impacter vos finances. Si vous cherchez à savoir comment se faire financer du materiel informatique, il suffit de se rapprocher de cet expert, il vous proposera la meilleure solution.

  • Plusieurs points devront être abordés à savoir le taux annuel effectif global, le montant nécessaire ainsi que la durée de remboursement.
  • En fonction des besoins, le crédit peut être à rembourser sur une année seulement ou près de 10 ans. La durée la plus élevée sera consacrée aux sommes plus importantes.
  • Vous pouvez bien sûr choisir un prêt de ce genre pour emprunter 200 euros afin d’acheter du matériel informatique.

Si l’usage se fait dans le cadre professionnel, n’hésitez pas à demander à votre employeur surtout si vous êtes en télétravail. Il a peut-être prévu dans la charte un montant pour vous permettre d’acheter tout ce dont vous avez besoin pour travailler tous les jours. 

un jeune homme fait signer un contrat assurance entreprise à une femme

Ce que vous devez savoir avant de prendre une assurance entreprise

Une assurance entreprise encore appelée assurance professionnelle peut constituer une couverture sociale pour votre activité. C’est l’assurance vie de votre activité. Aucunement obligatoire, elle reste indispensable pour votre entreprise si elle ne fait pas partie de professions réglementées. Cet article vous propose une explication de l’assurance entreprise; les différents types d’assurances auxquelles vous pouvez souscrire et des astuces pour bien choisir votre assurance.

Qu’est ce qu’une assurance entreprise ?

Une assurance entreprise vous permet de couvrir votre activité. En effet, lorsque vous créez votre propre entreprise votre responsabilité civile privée est engagée. Gérer une entreprise peut s’avérer plus difficile qu’on l’aurait pensé  car vous pouvez être exposé à plusieurs dangers. Pour vous prémunir de ces situations désastreuses, il est nécessaire de souscrire à une assurance entreprise aussi connue sous le nom d’assurance professionnelle.

Une assurance professionnelle est un ensemble d’assurances à laquelle peut adhérer votre entreprise pour couvrir votre activité. Moyennant une cotisation mensuelle, l’assureur se charge de vous indemniser lorsqu’un sinistre survient. Le montant des cotisations dépend de plusieurs facteurs prévus par les clauses de votre contrat d’entreprise.

Les différents types d’assurances entreprise

Il existe une kyrielle d’assurance entreprise auxquelles vous pouvez souscrire.

La responsabilité civile professionnelle

La responsabilité civile professionnelle est une assurance professionnelle qui vous couvre en cas de dégâts ou de préjudices causés à un tiers par la faute de votre activité. En effet, la responsabilité professionnelle ou RC pro vous permet de vous prémunir des dommages corporels, matériels ou immatériels qui peuvent survenir par la faute d’un employé ou par votre à l’occasion du travail.

La responsabilité civile professionnelle peut être inclue dans un contrat d’assurance multirisque professionnelle ou peut être souscrit séparément. Elle est une obligation pour certaines professions dites les métiers réglementés. Comme métiers réglementés on a:

  • Les professionnels de la santé: il s’agit des médecins des pharmaciens des ostéopathes des dentistes, des infirmiers, des sages-femmes qui sont exposé au risque d’erreur médicale
  • Les professionnels du Droit: les avocats, les huissiers de justice, les notaires, qui pourraient manquer à leur devoir envers un client
  • Les professionnelles du bâtiment: en raison de leur proximité des engins lourds
  • Les professionnelles de la finance: les experts-comptables, les assurances, les banquiers et autres.

Souscrire à une assurance pour votre entreprise peut vous épargner de nombreux problèmes même si votre activité ne figure pas dans celle ayant obligation d’adhésion. Si vous êtes commerçant, vous pouvez ajouter à votre contrat une clause de responsabilité civile après livraison. Elle protège la livraison de vos produits ou vous couvre des dommages causés par votre prestation de service.

Il est opportun de savoir que le prix des cotisations du RC Pro varie en fonction de plusieurs facteurs:

  • La taille de votre entreprise défini par votre activité et le nombre d’employés; le statut juridique de votre entreprise: petite entreprise; micro-entreprise ou moyenne entreprise etc;
  • Votre secteur d’activité: commerçant; artisan; architecte; etc;
  • Le chiffre d’affaires: il peut arriver qu’une petite entreprise de par son statut fasse un chiffre d’affaires plus grand qu’une macro-entreprise.

Vous avez également la possibilité de souscrire à une autre assurance entreprise.

Assurance multirisque professionnelle

Le contrat d’assurance multirisque professionnelle est une assurance qui vous offre une étendue de garanties pour vos biens et pour votre entreprise. Pour les professions dites libérales, c’est un contrat idéal et pratique. Elle est tout de même indispensable si vous occupez des locaux pour votre activité. C’est elle qui couvre les bâtiments ainsi que le matériel disponible.

En cas de perte de votre marchandise ou de vos biens l’assurance multirisque vous indemnise à hauteur de la valeur du bien. Sa particularité est que la responsabilité civile professionnelle est incluse dans le contrat. Aussi elle propose plusieurs garanties:

  • une garantie incendie
  • une garantie vol
  • une garantie contre les dégâts des eaux
  • une garantie bris de glace.

En dehors de l’assurance multirisque professionnelle, vous pouvez souscrire à une assurance entreprise pour vos biens.

Assurance dommage aux biens

C’est un contrat d’assurance entreprise qui protège le patrimoine mobilier de votre entreprise pour vous prémunir de tout fait dommageables pouvant être causés. Cette assurance couvre donc vos marchandises, vos outils de travail, les bâtiments et les objets garanties dans le contrat. La particularité de cette assurance est qu’elle peut assurer non seulement les dommages sur vos biens mais également couvrir en contrepartie financière un arrêt de votre activité et d’autres frais.

En règle générale, cette assurance vous paie une indemnisation dans des cas bien définis. Il s’agit des cas d’incendie, des cas de perte de vos marchandises, des catastrophes naturelles, des dommages électriques, des risques de cybercriminalité et d’autres faits. Si elle n’est pas obligatoire, elle peut s’avérer salutaire pour votre activité tant que vous y souscrivez. Notez qu’elle peut aussi inclure une clause de responsabilité civile professionnelle.

Comment choisir votre assurance entreprise?

Choisir votre assurance professionnelle pour votre activité est simple. La première étape consiste à définir le profil de votre entreprise. Pour y arriver, il suffit d’évaluer votre activité en termes de risques présentés et leur estimation financière si un des risques survient. Ensuite vous pouvez demander des devis personnalisés à différentes agences d’assurance pour les comparer à l’aide d’un comparateur.

L’étape suivante consiste à lire les fiches d’informations afin de prendre connaissance des garanties, des délais d’indemnisation et du plafond de la franchise. Toutes ces informations doivent correspondre au profil d’entreprise que vous avez défini.

Crédit travaux : comment financer vos travaux ?

Pour financer la réalisation de travaux dans un logement, il faut parfois disposer d’une somme assez conséquente. Pour se donner les moyens de réaliser ce type de projet sans nécessairement entamer son économie, la contraction d’un prêt constitue une solution idéale.

Pour financer des travaux, vous avez le choix entre de nombreux crédits. Dans cet article, on vous cite les différents types de prêt auxquels vous avez accès.

Le prêt travaux d’amélioration

Le prêt à l’amélioration est un crédit mis à disposition par Action Logement. Il permet de financer de nombreux types de travaux dans votre maison comme le remplacement de vos fenêtres ou l’installation d’un nouveau système de chauffage.

Le montant du prêt est plafonné à 10 000€. La durée de remboursement peut aller jusqu’à 10 ans. L’avantage de ce type de crédit est son taux d’intérêt très bas. En effet, il n’est que de 1%(1). Cela vous permet de financer vos travaux tout en gardant une mensualité légère. De plus, ce prêt ne nécessite aucun justificatif.

Pour être éligible à ce prêt, vous devez :

  • Être propriétaire de votre résidence principale.
  • Réaliser les travaux vous-même ou par l’intermédiaire d’un professionnel conventionné.
  • Les travaux pour lesquels vous demandez un financement doivent concerner l’amélioration, l’agrandissement ou la construction de votre habitation.
  • Le prêt d’amélioration est réservé aux particuliers. Vous devez également être propriétaire de votre résidence principale pour souscrire ce type de crédit.

Le prêt travaux agrandissement 

Le prêt d’agrandissement est également un prêt proposé par Action Logement. Il vous permet de financer des travaux permettant d’augmenter la surface habitable de votre logement, comme une extension ou la création d’un grenier.

Le montant du prêt est plafonné à 20 000 €. La durée de remboursement peut aller jusqu’à 15 ans. Comme le crédit amélioration, le prêt d’élargissement a un taux d’intérêt très bas. Ce dernier est fixé à 0,5%(1).

Pour pouvoir bénéficier de ce prêt, vous devez :

  • Être le propriétaire de votre résidence principale.
  • Réaliser les travaux vous-même ou par l’intermédiaire d’un professionnel agréé.
  • Les travaux pour lesquels vous demandez un financement doivent concerner l’amélioration, l’extension ou la construction de votre habitation.

Ce prêt est exclusivement réservé aux particuliers et comme le prêt à l’amélioration, vous devez être propriétaire de votre résidence principale pour souscrire ce type de prêt. En outre, vous ne pouvez pas avoir bénéficié d’un prêt d’agrandissement au cours des 5 dernières années

Le prêt avance rénovation 

Le prêt avance rénovation est un prêt hypothécaire destiné aux ménages à faibles revenus souhaitant financer des travaux de rénovation énergétique dans leur logement. Il est remboursé in fine, c’est-à-dire en une seule fois, lors du transfert du bien, ce qui peut arriver : soit lors de la revente du bien, soit au décès de l’emprunteur ou de ses héritiers si le bien n’est pas vendu.

Il est à noter que le remboursement de cet emprunt ne représente pas une charge financière pour les bénéficiaires puisqu’il est inclus dans le prix de vente de la maison et donc supporté par l’acheteur.

Le prêt pour travaux d’efficacité énergétique s’adresse aux propriétaires occupants qui éprouvent des difficultés à financer des travaux d’amélioration de la performance énergétique de leur logement.

Cette aide couvre également les frais de dossier et frais en cas de remboursement anticipé ou assurance emprunteur.

Prêt modulimmo travaux 

Le prêt Modulimmo Travaux est un prêt immobilier qui vous permet de financer des travaux importants, comme une extension de votre maison. Ce prêt est utilisé pour financer des travaux d’un montant supérieur à 50 000 €.

Quels sont les avantages de ce prêt ?

Le principal avantage du prêt Modulimmo Travaux est qu’il offre des taux très attractifs. De plus, ce type d’emprunt vous donne la possibilité de bénéficier d’une réduction d’impôt. Enfin, ce type de crédit vous permet de financer vos travaux en plusieurs versements.

Comment savoir si je suis éligible à ce type de crédit ?

Pour être éligible au prêt Modulimmo Travaux, vous devez  être le propriétaire du bien sur lequel les travaux seront effectués. En outre, vous devez disposer d’un revenu régulier afin de pouvoir rembourser le prêt.

Quelles sont les conditions d’obtention

Pour bénéficier du prêt Modulimmo Travaux, vous devez remplir certaines conditions. Tout d’abord, vous devez être résident français. De plus, vous devez être âgé d’au moins 18 ans et disposer de revenus réguliers. Enfin, vous ne devez pas être en difficulté financière.

Comment faire une demande ?

Si vous souhaitez demander le prêt Modulimmo Travaux, vous pouvez vous adresser directement à votre banque ou contacter un courtier en crédit.

L’éco-prêt à taux zéro (éco-ptz) 

L’éco-ptz est une aide financière réservée au financement de travaux visant à réduire la consommation d’énergie de votre logement. Le montant de cet emprunt est plafonné à 50.000 euros.

Comment cela fonctionne-t-il ? Il s’agit d’un prêt à taux zéro qui vous permet de financer tout ou partie des travaux éligibles. Aucun apport initial n’est requis de votre part. La durée de remboursement est de 10 ans maximum.

Par ailleurs, cette aide financière peut être cumulée avec MaPrime Renov’ (somme octroyée par une entreprise qui fournit de l’énergie et non une banque), si vous êtes un ménage à faible revenu.

Pour obtenir ce prêt à taux zéro, vous devez :

  • réaliser des travaux d’amélioration de la performance énergétique de votre logement, conformément aux dispositions de l’article 200 quaterdecies A du Code général des impôts ;
  • avoir votre résidence principale en France ;
  • être propriétaire ou locataire (y compris dans le cadre d’une location avec option d’achat).

Les travaux qui peuvent être financés par un éco-prêt sont les suivants :

  • l’isolation des murs extérieurs ;
  • l’isolation des toitures ou des combles ;
  • le remplacement des portes et fenêtres ;
  • l’installation ou le remplacement d’un système de chauffage utilisant des énergies renouvelables.

Le crédit travaux 

Un crédit travaux est un type de crédit à la consommation qui sert à financer des travaux, généralement liés à la maison. Il peut s’agir de travaux allant de la simple décoration à la rénovation pour économiser l’énergie.

Les crédits travaux sont remboursés en totalité à la fin de la période de prêt, qui correspond généralement à la vente du bien immobilier. Cela signifie que le remboursement du prêt ne représente pas une charge financière pour l’emprunteur.  Toutefois, il est important de noter que le taux d’intérêt du crédit travaux est généralement plus élevé que celui d’un crédit à la consommation classique.

Le crédit travaux est accordé par des banques ou des institutions financières. Le montant maximum du prêt est déterminé en fonction des besoins de l’emprunteur et de la valeur du bien. La durée de remboursement est, en règle générale, plus courte que celle d’un crédit à la consommation classique et correspond généralement à la durée prévue des travaux.

 

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Spread trading : les critères essentiels pour bien choisir son courtier en 2021

Les fluctuations sur les marchés boursiers évoluent à vitesse grand V. Les transactions sur les plateformes de trading en ligne battent leur plein depuis quelque temps, et plus précisément en spread trading. Si l’année 2021 semble particulièrement charnière pour les finances des particuliers, comment bien choisir son courtier ? Alors, qu’est-ce que le spread trading et comment ça fonctionne ? Lire la suite

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2021 : les placements financiers à suivre avant de débuter dans le trading

Tandis que les plateformes de trading se sont démocratisées de manière exponentielle auprès des traders débutants lors des deux confinements, les placements financiers ont aussi bien évolué. À l’heure où des tendances macroéconomiques se forment dans le monde entier, de nouveaux indicateurs financiers se développent à vitesse grand V. Si les traders débutants sont de plus en plus nombreux à se lancer dans la bourse en ligne depuis leur domicile, il est essentiel de s’informer sur les placements financiers à privilégier avant de se lancer. Lire la suite

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SAINT-GOBAIN: les fondamentaux sont bons et la situation financière saine

Saint-Gobain vient de publier pour le premier semestre un bénéfice net de 632 millions d’euros, en hausse de 13,9% par rapport à la période correspondante 2004.

Le bénéfice d’exploitation est en progression de 4,6% à 1372 millions d’euros, pour un chiffre d’affaires de 16,877 milliards d’euros (+7%).

Ces chiffres, qui sont supérieurs aux attentes des analystes, sont obtenus essentiellement grâce à un fort rattrapage du second trimestre. Lire la suite

Grâce à l’analyse fondamentale, vous avez maintenant toutes les informations dont vous avez besoin sur l'entreprise. Mais vous vous apercevez que vous ne savez pas grand-chose sur le cours de l'action, qui pourtant dépend de ces informations. Faut-il acheter l’action ? La vendre ? Et puis, l’état du marché influençant celui d’une action particulière, intervient-on au bon moment, dans un contexte boursier favorable ? L’analyse boursière doit donc se faire à deux niveaux: celui de l’action convoitée, et celui du marché en général. I- L'analyse individuelle des actions 1. L’analyse traditionnelle Si l'entreprise va très bien, cela ne signifie pas forcément qu'il faille se ruer sur ses actions.  En effet, le marché boursier cherche avant tout à anticiper la situation de l'entreprise dans 6 mois, un an et plus. Il se peut que ces anticipations soient déjà dans les cours, c'est-à-dire que les acheteurs et vendeurs du titre aient anticipé toutes les informations: il y a alors peu de chances pour que l'action continue à monter, sauf si survient une autre bonne nouvelle non anticipée. Il en va de même pour une entreprise qui va mal: cela ne signifie pas qu'il faille vendre à tout prix ou rester à l'écart de ses actions. On dit souvent que, lorsque ça va vraiment mal, ça ne peut pas être pire: on ne peut que remonter. C'est aussi vrai en bourse. Le tout étant de choisir d'intervenir à un moment qui ne soit pas trop mauvais (on choisit rarement le meilleur moment), parce qu'on anticipe un changement important. En fait, votre but est d'acheter bon marché pour revendre cher. Il y a là un premier écueil à éviter: l'action X, qui vaut 400 francs, n'est pas à priori deux fois plus chère que l'action Y, qui en vaut 200.  Si la société X a été créée avec 10 000 actions, sa capitalisation boursière (cours d'une action x nombre d'actions) est donc maintenant de 400 x 10 000 = 4 000 000 de francs. Si la société Y a été créée avec 20 000 actions, sa capitalisation boursière est donc de 200 x 20 000 = 4 000 000 de francs. Si, maintenant, la société X décide de diviser par deux la valeur de ses actions, elle va devoir multiplier par deux le nombre d'actions, pour conserver la même capitalisation boursière. En effet, ce jeu d'écritures ne change rien à la valeur de l'entreprise. L'action de la société X ne vaudra alors plus que 200 francs, mais la société X vaudra toujours, en bourse, 4 000 000 de francs. Ses actionnaires auront deux fois plus d'actions qu'auparavant, mais avec un prix unitaire deux fois plus petit: l'opération est blanche. On ne peut donc pas comparer tel quel le cours de l'action X avec celui de l'action Y, puisque celui-ci peut être influencé par des divisions de titres qui, économiquement et financièrement, ne signifient rien (l'unique avantage est que les actions dont la valeur unitaire est plus faible peuvent être plus facilement échangées). Il faut donc trouver autre chose. a) Le Bénéfice Net Par Action ou BNPA Le Bénéfice Net Par Action (BNPA) constitue une première indication. Il est égal au bénéfice net (d'impôts) divisé par le nombre d'actions. Il permet de calculer un ratio très important, et qui sert à déterminer si un titre est cher ou non: le PER, ou Price Earning Ratio. b) Le Price Earning Ratio ou PER (ou multiple de capitalisation) Le PER est égal au cours de l'action divisé par le bénéfice par action. Cela revient à diviser la capitalisation boursière, donc la valeur de l'entreprise, par ses bénéfices. Le résultat donne le nombre de fois que le bénéfice par action est contenu dans le cours de l'action. Prenons un exemple. La World Company prévoit un bénéfice net de 100 milliards de francs pour l'année à venir. Il y a 1 milliard d'actions World Company à la bourse. Cela signifie que le BNPA sera de 100 milliards / 1 milliard = 100 francs par action. Le cours de l'action World Company est de 3 000 francs. Le PER est donc de 3 000 / 100 = 30. On dit que l'action World Company a un PER de 30, ou que le cours capitalise (représente) 30 fois les bénéfices attendus pour l'année à venir. On peut aussi dire (mais ce n'est financièrement pas rigoureux, donc ne le répétez pas !) qu'à 3 000 francs, le cours de l'action représente 30 ans de bénéfices nets identiques. Ainsi, l'action de la World Company est beaucoup plus chère que celle de l'International Trust, qui a un PER de 18, laquelle est deux fois moins chère que l'action de la Pognon Associated, qui a un PER de 36. Attention: les PER ne peuvent être réellement comparés qu'entre entreprises du même secteur d'activité. Il serait stupide de comparer le PER d'une banque avec celui d'un constructeur automobile. Par ailleurs, un PER de 25 pourra être considéré comme élevé dans un secteur, mais faible dans un autre. Le PER résume à lui tout seul le sentiment de tous les intervenants en bourse: élevé, il témoigne de leur grande confiance (on paye plus cher ce en quoi l'on croit), bas, il trahit une certaine défiance. d) Le rendement La détention d'actions donne droit aux dividendes. Le rendement d'une action est égal à son dividende divisé par son cours. On distingue le rendement global (avant impôt, que seuls les détenteurs de PEA touchent), et le rendement net (après impôt, que les autres touchent d'emblée). Lorsque le cours monte, le rendement diminue, et inversement. Ainsi, un rendement élevé peut signifier que le cours est bas (défiance des investisseurs, risque élevé, mais peut-être possibilité de réaliser de bonnes plus-values, existence d'une décote...), et un rendement faible peut signifier que le cours est très élevé (confiance, risque faible).  Un rendement élevé peut être une bonne sécurité (on parle de "parachute") lorsque l'on investit sur un titre risqué, dont la baisse éventuelle pourra être compensée par l'encaissement d'un gros dividende.  Les rendements élevés se trouvent parfois au Règlement Mensuel, mais on les trouve surtout dans des marchés moins liquides ou sur des Titres Participatifs par exemple. 2. Une approche récente en France: la création de valeur pour l'actionnaire Pendant très longtemps, les grandes entreprises cotées se sont assez peu souciées de leurs actionnaires, et particulièrement lorsque ceux-ci étaient petits ou minoritaires. Du reste, les actionnaires étaient satisfaits si le cours de bourse et les dividendes augmentaient régulièrement. Aux Etats-Unis, il existe ce que l'on appelle des fonds de pension, qui gèrent l'argent déposé par des épargnants en vue de leur retraite. L'argument de vente principal de ces fonds de pension étant la rentabilité des placements effectués chez eux (c'est-à-dire le montant de la rente qui sera versée à leurs souscripteurs au moment de leur retraite), ils se montrent naturellement de plus en plus exigeants dans la défense des droits de leurs clients auprès des entreprises cotées, dont ils détiennent des parts significatives.  Leur but principal est d'obtenir un accroissement du cours de bourse et du montant des dividendes. Compte-tenu de leur puissance financière, toute entreprise qui ne leur permet pas d'obtenir une valorisation correcte aura plus de mal à trouver des fonds, et le cours de ses actions en bourse va fortement baisser. Cette situation n'est jamais très confortable pour les dirigeants, surtout si les gros actionnaires donnent de la voix. C'est pourquoi les entreprises cotées ont commencé à s'intéresser réellement aux attentes de leurs actionnaires, qui souhaitent désormais "en avoir pour leur argent". Toute une réflexion s'est alors engagée sur la place et le rôle des actionnaires, surtout les plus petits. Cela a débouché sur ce que les américains appellent le corporate governance, ce qui en français se traduit par gouvernement d'entreprise.  Celui-ci a fait son apparition en France en 1996, avec les interventions de plus en plus importantes de fonds anglo-saxons dans le capital des entreprises françaises, et surtout la rédaction du rapport Viénot (ancien PDG de la Société Générale), qui a fait un certain nombre de recommandations quant à la représentation et au respect des droits des actionnaires, petits et grands. Grosso-modo, il s'agit de ne plus rien décider qu'en fonction des seuls intérêts des actionnaires, qui doivent donc être courtisés et écoutés. Comme nous venons de le voir, l'intérêt des actionnaires réside dans le montant des dividendes versés et le niveau du cours de bourse. Or, ces deux variables n'augmentent respectivement que si l'entreprise 1) est plus rentable et 2) prend de la valeur. Mais comment mesurer cet accroissement de la rentabilité et de la valeur pour l'actionnaire, ce que passe sous silence l'analyse financière traditionnelle ? Il existe trois indicateurs pour mesurer cette création de valeur. Les deux plus anciens sont le Total Shareholder Return (ou TSR, ce qui signifie rentabilité globale pour l'actionnaire) et la Market Value Added (MVA ou valeur ajoutée boursière). L'EVA (ou Economic Value-Added) est plus récent. a) Le TSR Le TSR répond à une question toute bête: si j'avais placé 100 francs dans l'entreprise X à la date t, et réinvesti tous mes dividendes bruts dans cette entreprise, quel aurait été le taux de rendement annuel moyen de mon placement ? b) La MVA La MVA permet de mesurer l'augmentation de la valeur boursière de l'entreprise sur une période donnée. Celle-ci est calculée à partir de la capitalisation boursière de l'entreprise à laquelle on ajoute l'endettement net, et de laquelle on déduit le montant des capitaux comptables. Si le résultat est positif, la société a créé de la valeur, sinon, elle en a détruit. c) L'EVA Enfin, le troisième indicateur est l'Economic Value-Added (EVA ou création de valeur économique).  Cet indicateur repose sur une réalité toute simple: pour investir, l'entreprise a besoin de capitaux. Ces capitaux, qu'ils soient empruntés ou fournis par les actionnaires, ont un coût. Ce sont les intérêts pour la dette, et les dividendes pour les actionnaires. Une fois calculé le coût de la dette et des capitaux apportés par les actionnaires, il est possible de calculer le Coût Moyen Pondéré du Capital (ou CMPC), qui mesure globalement le coût des ressources financières de l'entreprise, d'où qu'elles proviennent. Ces ressources vont être investies dans un projet qui a un certain taux de rentabilité: pour que l'entreprise crée de la valeur, il faut que le taux de rentabilité de l'investissement soit supérieur au coût des ressources financières de l'entreprise. C'est logique: si vous avez à votre disposition une somme d'argent, sur laquelle vous devez payer un intérêt annuel de 8%, vous n'investirez cet argent dans un projet que si ce projet vous rapporte plus de 8% par an. Sinon, vous allez perdre de l'argent. Si vous trouvez un projet vous rapportant plus de 8%, vous allez en gagner, donc vous allez créer de la valeur.  Ces trois notions ne sont pas encore très répandues en France: aussi, vous avez tout intérêt à vous y intéresser, car avec la présence chaque année plus grande d'investisseurs étrangers sur le marché français, elles sont promises à un bel avenir. Et il n'est pas mauvais d'avoir une longueur d'avance dans les méthodes de sélection des bonnes valeurs... II- L’analyse globale du marché boursier 1. Les indices boursiers d'actions  Les indices d'actions sont les principaux baromètres de l’évolution d'une place financière. Ils regroupent un panier d'actions, dont le suivi retrace, de manière plus ou moins parfaite selon le nombre de valeurs retenues, l'évolution instantanée du marché. Au sein de chaque indice, une pondération, en fonction de la capitalisation boursière des différentes valeurs retenues, permet de mieux tenir compte du poids de chaque société sur le marché. Il y a, à la bourse de Paris, plusieurs indices. Certains sont représentatifs de l’évolution d’un marché particulier. Mais il existe aussi des indices transversaux, qui peuvent concerner plusieurs marchés ou qui reposent sur un concept particulier. Enfin, l’avènement de l’euro a encouragé l’apparition d’indices européens, regroupant des valeurs de différents pays de l’Union Européenne, dont la France. a) Les indices représentatifs d’un marché Pour les actions cotées Règlement Mensuel, il existe deux grands indices: le CAC 40 et le SBF 120. L'indice CAC 40 est l’indice phare de la bourse française. Créé en juin 1988, avec une base 1 000 au 31 décembre 1987, il s'appuie sur les valeurs les plus importantes de la bourse de Paris. Il est calculé à partir de 40 valeurs cotées sur le marché à règlement mensuel (RM), et choisies en fonction, notamment, de leur capitalisation et de leur liquidité, en veillant à préserver une bonne diversification sectorielle. Sa composition varie régulièrement en fonction des rachats, fusions et autres évolutions concernant les entreprises qui le composent. Grâce à sa grande liquidité, il sert aussi de support aux marchés dérivés (contrats à terme et options sur CAC 40). Créé le 8 décembre 1993, avec une base 1 000 au 31 décembre 1990, le SBF 120 est plus diversifié que le CAC40, grâce aux 120 actions qui le composent. Il donne ainsi une bonne image de la performance des actions françaises cotées au règlement mensuel. Pour les actions cotées au Second marché, il y a l’indice du Second Marché. Il est calculé depuis septembre 1996. Il remplace l'ancien indice SBF du second marché. Il élimine les plus fortes et plus faibles capitalisations de ce compartiment de la cote, ainsi que les titres peu liquides. Enfin, le Nouveau Marché dispose de son propre indice, l’indice NM. Il regroupe les titres des principales sociétés cotées sur le Nouveau Marché. b) Les indices transversaux Il existe des indices regroupant des valeurs cotées sur des marchés différents, voire sur certains types de valeurs. Ainsi, le SBF 250 est un indice multimarché, et le Midcac, en plus d'être multimarché, est également thématique, car il ne regroupe que des entreprises de taille moyenne. Si ces deux indices sont connus, il en existe d'autres, parmi lesquels des indices sectoriels: services financiers, immobilier, produits de base, etc. Né comme le SBF 120 le 8 décembre 1993, avec une base 1000 au 31 décembre 1990, le SBF 250 a pour vocation de représenter l'évolution d'ensemble du marché (marché officiel et second marché) à travers les 250 valeurs qu’il regroupe. Il constitue ainsi un instrument de référence à long terme.  A noter que la relation entre le CAC 40, le SBF 120 et le SBF 250 relève du système des poupées russes: le CAC 40 est inclus dans le SBF 120, lui même inclus dans le SBF 250. Le Midcac a, de son côté, été lancé le 12 mai 1995. Son objectif est de donner un meilleur reflet de l'évolution en bourse des valeurs moyennes. En effet, malgré leur grande représentativité, le SBF 120 et, surtout, le SBF 250, font la part belle aux grandes valeurs. C’est pourquoi l’indice Midcac regroupe 100 valeurs sélectionnées selon des critères de taille et de liquidité. Les capitalisations boursières les plus fortes et les plus faibles de la Bourse de Paris ont ainsi été éliminées. Par ailleurs, les valeurs financières et immobilières, au comportement boursier particulier et qui entrent pour une part importante dans la composition des indices CAC 40, SBF 120 et SBF 250, ont volontairement été exclues du Midcac. En fonction des opérations financières, de l'introduction en Bourse de nouvelles sociétés, la composition de l'indice est régulièrement modifiée. Il comporte néanmoins des valeurs cotées aussi bien au règlement mensuel, au comptant ou au second marché. Par secteur, on note la forte représentation des biens d'équipement, des biens de consommation et de l'automobile, d'où une volatilité assez marquée de cet indice, vu la présence de valeurs cycliques. c) Les indices européens Il y a quelques années déjà, la bourse de Londres a créé, en partenariat avec la bourse d'Amsterdam, deux indices européens, l'Eurotop 100 et l'Eurotop 300, composés respectivement de 100 et 300 valeurs européennes. L'approche de l'union économique et monétaire a poussé les bourses de Paris, Francfort et Zurich à créer avec la société Dow Jones une nouvelle série d'indices européens, les quatre indices Dow Jones Stoxx.  L'indice le plus large comporte 670 valeurs et couvre les 15 pays de l'Union Européenne et la Suisse. Un sous-ensemble de ce premier indice, le Dow Jones Euro Stoxx, se compose de 326 valeurs de pays qualifiés pour l'euro. Les deux autres indices, plus étroits, et emboîtés dans les premiers, ne comportent que 50 valeurs provenant, pour l'un, de l'ensemble des pays de l'Union Européenne plus la Suisse, et, pour l'autre, des seuls pays qualifiés pour l'euro. De même, des indices sectoriels ont été créés sur les deux zones. 2. La position de place La position de place est un document publié à chaque fin de mois. Il présente, pour chaque valeur du Règlement Mensuel, chaque secteur du Règlement Mensuel, et le marché à Règlement Mensuel dans son ensemble, la totalité des achats et ventes reportés. Lorsque les achats reportés sont plus importants que les ventes reportées, la position de place est acheteuse. Dans le cas contraire, la position de place est vendeuse. Cet indicateur doit être mis en relation avec les volumes quotidiens moyens des échanges sur le titre. Si, pour un titre donné, la position de place est fortement acheteuse par rapport aux volumes quotidiens moyens, cela signifie qu’une correction à la baisse risque d’être accentuée, car les acheteurs devront tôt ou tard vendre leurs titres, surtout si le cours baisse. De même, si, pour un titre donné, la position de place est fortement vendeuse par rapport aux volumes quotidiens moyens, cela signifie qu’une correction à la hausse risque d’être accentuée, car les vendeurs à découvert devront tôt ou tard se racheter, surtout si le cours monte. 3. Autres indicateurs a) Le PER moyen du marché Il est possible de calculer un PER moyen du marché boursier, de la même manière que pour un titre particulier. Ce calcul est toutefois long, et c’est pourquoi il vaut mieux se reposer sur les informations publiées dans la presse financière. b) Le rendement moyen des actions De même qu’il est possible de calculer un PER moyen du marché, il est possible de calculer le rendement moyen des actions. Ce calcul est toutefois long, et c’est pourquoi il vaut mieux se reposer sur les informations publiées dans la presse financière. c) Plus fortes hausses et baisses Ces indications sont rapportées quotidiennement dans les informations financières. Elles donnent une idée sur la tendance du marché, mais aussi sur les secteurs touchés. Si, par exemple, on trouve 5 valeurs pétrolières parmi les 10 plus fortes baisses, c’est qu’il y a une bonne raison.  CONCLUSION En croisant tous les éléments décrits dans ce qui précède, vous pourrez prendre une décision d'achat ou de vente, avec un minimum de chances de vous tromper.  Mais vous ne serez pas pour autant à l'abri d'une erreur. Outre le fait qu'il faut avoir pas mal de pratique et de temps, il suffit d'avoir négligé un aspect ou sous-estimé un autre pour que les gains escomptés ne voient jamais le jour. La lecture de la presse pourra vous aider considérablement, voire vous dispenser de ce travail long et fastidieux. Faites confiance aux professionnels: ils verront souvent plus vite et mieux que n'importe qui d'autre. Mais restez vigilant: à force d'avoir sans cesse le nez dans le marché, certaines évidences peuvent leur échapper, c'est humain (cf. les krachs boursiers). Diversifiez donc vos sources, et ayez l'esprit critique. Il existe cependant deux autres techniques pouvant vous aider dans vos choix d'actions: il s'agit de l'analyse chartiste, et de l'analyse technique. On peut les utiliser de préférence à l'analyse fondamentale, mais, pour mettre toutes les chances de votre côté, il vaut peut-être mieux les utiliser conjointement.

L’analyse boursière

Grâce à l’analyse fondamentale, vous avez maintenant toutes les informations dont vous avez besoin sur l’entreprise. Mais vous vous apercevez que vous ne savez pas grand-chose sur le cours de l’action, qui pourtant dépend de ces informations. Faut-il acheter l’action ? La vendre ? Et puis, l’état du marché influençant celui d’une action particulière, intervient-on au bon moment, dans un contexte boursier favorable ? L’analyse boursière doit donc se faire à deux niveaux: celui de l’action convoitée, et celui du marché en général. Lire la suite

Comment marche la bourse ?

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Investir en Bourse est de plus en plus courant actuellement. Seulement, bien que cette méthode soit réputée, de nombreuses personnes ignorent de quoi il retourne. En fait, d’une manière simple, la Bourse est faite pour permettre à chaque entreprise de financer leurs projets de développement. En effet, face à un projet, une entreprise a deux solutions : souscrire un crédit à la banque ou aller en lever sur le marché en émettant des actions. Cette dernière est généralement la plus choisie en raison de tous les avantages que cela présente. Et quand elle choisit cette option, elle doit rencontrer des investisseurs, des professionnels et des particuliers pour vendre leur projet ou en d’autres mots, convaincre les futurs actionnaires de l’aider dans son projet de développement. Lire la suite